Le village se vide: (Avril 2010)
Vos réactions :
Jeudi 29 avril 2010 |
Bonjour à toutes et à tous, Bientôt les vacances et le plaisir de retrouver nos racines. J'espère avoir le plaisir de vous retrouver à tadjmait et échanger d'aussi riches propos, afin de maintenir cette mémoire vivante. Je soumets à votre avis cette idée: pourrait-on classer cette place comme monument historique et, par là même, l'entretenir? Je propose que ceux qui en ont le souvenir nous rappelle "l'emplacement" de chacun de nos aines qui ont marqué par leur présence les riches moments de notre histoire collective. Pourrait-on en faire la liste, repérer leurs places, en faire l'inventaire, une liste non exhaustive et dans l'absolu une ou des plaques ou ils figureraient, donner à chacune de nos ruelles un de leurs noms, à chacune de nos places un témoin de leur passages; pourquoi ne pas inscrire en vis à vis de leur place respective un signe qui permettrait de perpétuer leurs souvenir? Laissons à chacun d'entre nous le choix. Il ya eu aussi des gens valeureux des héros des martyrs des bandits des poètes des artistes des historiens des filous des escrocs parfois sympathiques. Pourquoi ne pas honorer nos vrais héros, ceux que nous connaissions et estimions. Ceci permettrait, à mon avis à tous les jeunes de voir notre village sous d'autres facettes. Merci, à vos plumes revigorez nos mémoires et un jour nous demanderons à nos écrivains de tout nous rassembler dans un bel ouvrage comme celui de Rabah Toumert et des autres. Rabah sider (France) |
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Vendredi 23 avril 2010 | Tajmaεt Étant natif de tajmaεt g ighil, j’ai vu et assisté à ce changement de très très prés. En effet cela a commencé avec l’explosion démographique et le besoin de chaque famille d’agrandir son espace vital ce qui était nécessaire bien sûr. Mais, pour des raisons économiques et sans doute pragmatiques les citoyens ont préféré construire sur des sites vierges car ça coûtait moins chère que de refaire sur place, ce qui a produit en partie les ruées vers tizgi, taghuct , timrijt, asamer, leoma et lḥed maεmeṛ. Le besoin préserve l’outil Cordialement Amar Aomar Ammar khodja (France) |
Mercredi 21 avril 2010 | Bonjour à vous tous concepteurs,collaborateurs,internautes!
Bien à vous de Ravah at yamara (France) remerciements à tous |
Mardi 20 avril 2010 | Merci à Bélaid Seffal de nous soumettre ce thème de discussion que je trouve passionnant. Qui se souvient de tous nos anciens, de leurs faits et gestes, qu'en est-il de notre mémoire collective? Que sommes nous devenus? Ou est le plaisir de se rencontrer, d'échanger des propos enrichissants, de former nos jeunes par notre esprit, nos souvenirs, notre expérience, nos épreuves, nos joies et nos peines? Je me souviens du plaisir que j'avais à écouter nos anciens...Je laisse maintenant la "parole" à tous ceux qui pourraient enrichir cette discussion que j'ai plaisir à commenter Signé : Rabah ou Kaci Sider (France) |
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